Publié le 3 mai 2021
Des actions de réduction des émissions de polluants sont mises en place par les autorités préfectorales lors des épisodes de pollution. L’efficacité de ces actions a pu être montrée pour des polluants primaires tels que les oxydes d’azote ou les particules. Pour l’ozone, compte tenu des mécanismes photochimiques complexes en jeu, l’évaluation est plus difficile. Une étude de cas, basée sur la mise en place de la circulation différenciée dans la zone à faible émissions (ZFE) de l’agglomération lyonnaise pendant un épisode de pollution photochimique représentatif des conditions estivales caniculaires de l’été 2019, constitue une première approche de l’évaluation de l’efficacité de réductions de polluants sur les concentrations d’ozone.
