Pollution à l’ozone ; un été 2020 épargné en AuRA

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Publié le 10 novembre 2020

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L’été 2020 se situe parmi les étés les plus chauds et les plus secs de ces deux dernières décennies, conditions météorologiques extrêmement favorables à la formation de l’ozone.

De ce fait, plusieurs bassins d’air de la Région ont été placés en vigilance pollution à la fin du mois de juillet et durant la première quinzaine du mois d’août.

Pourtant, les taux d’ozone mesurés sont restés relativement bas, souvent proches des seuils réglementaires mais ne les atteignant qu’en de rares occasions, sur des territoires restreints.

Après analyse de différents indicateurs, il s’avère que les concentrations de composés précurseurs de l’ozone mesurées durant cet été se révèlent sensiblement inférieures à celles observées ces dernières années.

Ainsi, la réduction des activités, due au contexte sanitaire global de l’année 2020, pourrait avoir eu un effet bénéfique sur l’intensité des pics de pollution estivaux à l’ozone, en faisant l’un des étés les moins pollués de ces 20 dernières années.